Cette tragédie vient rappeler le danger quotidien que représente le secteur de l’informel sur la sécurité de nos concitoyens, souligne le patronat dans son communiqué.
En effet, poursuit la même source, la majorité des unités informelles recourent à une main-d’œuvre non-salariée, à travers des modalités de travail précaires, non-réglementées, non-déclarées et en dehors de tout cadre.
Afin d’endiguer ce fléau de façon définitive, des mesures courageuses et pragmatiques, à l’instar de la généralisation de la couverture sociale demandée par le souverain doivent être prises dans le cadre d’une stratégie globale, recommande la CGEM. Celle-ci se dit disposée à consacrer une «task force dédiée pour travailler main dans la main avec l’Etat sur ce sujet hautement important pour l’équilibre socio-économique de notre pays».