Mondial 2030: «Quand le Maroc s’engage, il réussit», estime le politologue Mohamed Bouden

Le politologue Mohamed Bouden.

Le 04/05/2024 à 19h51

Vidéo Le Maroc, derrière son Roi, connaitra un développement socio-économique sans précédent à l’occasion du Mondial 2030 de football coorganisé avec l’Espagne et le Portugal, a estimé dans un entretien avec Le360, le politologue Mohamed Bouden.

Le politologue, qui s’exprime à la suite de la réunion du 2 mai présidée par le ministre de l’Intérieur, a expliqué que l’importance du rôle que joue le département de l’Intérieur le qualifie pour «proposer, superviser et coordonner les préparatifs du Maroc dans divers domaines en vue du Mondial 2030».

La réunion de travail, qui sera suivie par d’autres rencontres similaires, témoigne du haut degré de l’engagement et de la détermination du Royaume à mettre en œuvre un grand nombre de projets allant des infrastructures de base (routes, ports, aéroports, hôtels...) à la mise à niveau des infrastructures sportives. Mohamed Bouden en déduit que ces chantiers auront des retombées bénéfiques et profiteront au progrès du pays.

La question sécuritaire constituera également une priorité pour les responsables marocains, a affirmé ce chercheur. Les investissements sont estimés à des dizaines de milliards de dirhams. «Quand le Maroc s’engage, il exécute et réussit», a martelé Mohamed Bouden avant de souligner que le pays, «sous la conduite du roi Mohammed VI, réalisera une véritable renaissance socio-économique qui épatera toute la région».

La réunion de travail élargie a regroupé, outre les proches collaborateurs du ministre de l’Intérieur, le ministre délégué chargé du Budget, Fouzi Lekjaa, les ministres de l’Équipement, du Tourisme, du Transport, de l’Éducation nationale et des Sports, et celui de l’Habitat. Ont également participé à cette réunion de travail les walis et les présidents des conseils des régions concernées par l’organisation des matches de la Coupe du monde que le Royaume coorganise avec nos voisins l’Espagne et le Portugal.

Par Mohamed Chakir Alaoui et Yassine Mannan
Le 04/05/2024 à 19h51